Pour mon amie, Pascale :« On n’est pas sérieux quand on a 17 ans…. » Écrivait un poète, poème de jeunesse. On l’est encore moins quand on a 15 ou 16 ans. Inoubliable année de classe de seconde, année en dilettante mais bon sang, comme c’était bien. Tu aimes Véronique comme moi, ma douce amie et ce n’est peut-être pas le titre que tu attendais mais c’est encore le seul que je puisse réaliser avec mes petits moyens pas trop mal. J’aimerais savoir jouer « une maison après la mienne », « amoureuse « , « chanson pour une drôle de vie » ou d’autres encore, mais je n’ai pas les accords ou comme c’est du piano à la base, ce n’est pas dans mes cordes. Mais peut-être que je pourrais demander à mes amis de dailly, peu nombreux mais fidèles et alors, si tu voulais chanter avec moi, ce serait merveilleux. Tu vois, même à distance, je pense que je trouverais quelqu’un qui me dirait comment faire. Je n’ai pas osé mettre de photos de toi – même les récentes – sans ton autorisation ; le cœur y est.