Après 200 heures de réunion avec la coordination parisienne des sans-papiers (CSP75)et 14 mois d'occupation injustifié de la bourse du travail à Paris. La CGT et ses syndicats parisiens ont repris leur outils de travail (7 salles de réunions, 1 salle de congrès, 2 imprimeries et les accès aux étage).