Deux ans avant l'élection présidentielle, la condamnation judiciaire de Marine Le Pen fait monter la température politique : le RN rassemble ses soutiens à Paris, une partie de la gauche contre-manifeste dans la capitale, et le bloc central est convié à Saint-Denis par Gabriel Attal. Face à cela, Thierry Mariani, député européen RN et ancien ministre, estime que «la gauche n’a pas le monopole de l’indignation publique».