Le secret le mieux gardé la de la capitale politique du Cameroun donne pourtant à établir la Première Dame Chantal BIYA comme l’une des plus âpres, intrépides et indéfectible défenseures de Ferdinand NGOH NGOH, Secrétaire général de la Présidence et 14 ans au poste, généralement présenté comme son Frère du village.
Epicentre du narratif communautaire et de la communautarisation des alliances politiques, dans une ère de frivolité et de conjectures en tous genres où tout est imaginé et ramené d’abord à la question ethnique. Peu rompue à la matière politicienne, cette jeune Femme entrée au Palais à l’âge de 24 ans aurait progressivement appris par les usages, et sophistiqué son jeu pour finir par devenir celle qui prend tout le monde à contre-pied ; à commencer par son époux.