« Les pires années dans l’histoire récente » : c’est ainsi que s’est exprimé le préfet de l’Aube pour résumer la mortalité routière de 2023 et 2024. L’État veut désormais frapper fort. Cinq axes sont déjà mis en œuvre.
« Les jeunes sous stupéfiants qui sortent de boîte de nuit, dans l’Aube, a priori, ça n’est pas notre problème premier. » Si certains des accidents mortels les plus récents, de la fin 2024, sont dus précisément à la conduite sous stupéfiants, le préfet a tenu à insister sur le fait qu’elle ne faisait pas des jeunes le premier des publics sensibles à la mortalité routière. « On a certes un vrai problème stupéfiants mais je peux vous dire qu’on a un vrai problème personnes âgées. »
Images : Albane Wurtz
Réalisation : Angélique Toscano
