Roubaix a subi deux coups du sort économiques : D'une part, le déclin de l'industrie textile et de la construction mécanique pour les métiers à tisser, et d'autre part, la fin de l'exploitation des mines de charbon. Comme dans d'autres régions d'Europe occidentale, à commencer par la Ruhr, puis la Sarre et le Luxembourg, jusqu'à la Belgique et la France, on assiste à une transformation des bases économiques, à l'émergence de nouveautés qui ne durent malheureusement pas toujours et à la persistance de nouveautés. En font également partie de nombreuses facultés des universités de Roubaix et de Lille, qui renouent en partie avec l'ancien savoir-faire textile.